Après avoir transformé son éclairage public, la ville de Grenoble fait le bilan

En septembre 2015, Grenoble signait avec Grenoble Lumière un contrat de Conception, Réalisation, Exploitation et Maintenance (CREM) pour prendre en charge l’éclairage publique de la ville. Le contrat s’est terminé fin décembre 2023, l’occasion pour la ville de faire le bilan.

De nouveaux lampadaires à LED

Car pendant ces huit années, une grande partie du parc des lampadaires, environ les trois quarts, a été changée. L’éclairage traditionnel a laissé la place à un éclairage LED, moins énergivore, entre autres avantages. « Ça nous permet de mieux régler notre éclairage pour éviter par exemple les trous noirs entre deux luminaires, de faire de très grosses énergies, ce qui n’est pas des moindres, en passant à une source LED« , explique Hélène Foucher, la responsable des éclairages publiques pour la mairie de Grenoble.

Autre nouveauté permise par ce nouveau système : la possibilité d’adapter la puissance de l’éclairage en fonction de l’heure. « On a un premier abaissement à 22h, puis un deuxième à minuit. On inverse à 5h, et on rééclaire totalement à 6h au moment où l’activité de la ville reprend« , explique Maud Tavel, l’adjointe à la tranquillité et à la sécurité publique à la mairie de Grenoble.

Des économies d’énergies

De quoi réduire encore un peu la consommation sur l’éclairage public : « On a réussi rien qu’avec cet abaissement à faire environ 10% d’économies. On pourra encore le faire là où c’est possible et en fonction de l’activité nocturne« , poursuit Maud Tavel. Ajouté à la faible consommation de ces lampes LED, la ville consomme désormais 5 GigaWatts/heure par an pour s’éclairer, contre 12,4 GWh il y a huit ans.

Le cours Berriat (gauche), est équipé des lampadaires à LED, tandis que le boulevard Gambetta (droite) est encore éclairé par l'ancienne version de lampadaires.
Le cours Berriat (gauche), est équipé des lampadaires à LED, tandis que le boulevard Gambetta (droite) est encore éclairé par l’ancienne version de lampadaires. © Radio FranceBastien Roques

Avec un effet notable sur la facture : faire fonctionner l’éclairage public à Grenoble coûte désormais 700.000€ par an contre un million auparavant. Dans le même temps, les investissements à l’année ont été multipliés par deux par rapport à 2015.

Encore un quart du parc à changer

Autre progrès dans cette rénovation, l’efficacité du service, avec un taux de panne qui chute d’entre 6 à 10 % avant 2015, à 0,4 % aujourd’hui selon les chiffres de la mairie. Par ailleurs, ce nouveau système a permis à la ville de réduire son nombre de lampadaires, passant de 19 400 à 17 040 points lumineux aujourd’hui. Un millier de ces luminaires fonctionnent avec une détection de présence.

En rouge, les lampadaires déjà changés à Grenoble, en jaune, ceux qui doivent encore l'être.
En rouge, les lampadaires déjà changés à Grenoble, en jaune, ceux qui doivent encore l’être. © Radio FranceBastien Roques

Il reste encore un quart du parc à changer, des lampadaires situés pour l’essentiel dans le quartier Teisseire, et sur les grands boulevards, entre le pont de Catane et le stade des Alpes notamment, ainsi que sur la presqu’île. De l’aveu de la mairie, il est peu probable que tout cela soit achevé d’ici la fin du mandat municipal en 2026.

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L’Agence d’ur­ba­nisme lance un appel aux pro­prié­taires et loca­taires pour par­ti­ci­per à l’en­quête annuelle sur les loyers

L’Agence d’ur­ba­nisme de la région gre­no­bloise cherche des volon­taires pour répondre à son enquête annuelle de l’Observatoire local des loyers. « La mis­sion de l’Observatoire est de mieux connaître le mar­ché loca­tif et de per­mettre aux pro­prié­taires bailleurs ou loca­taires du parc privé d’avoir une vision des loyers pra­ti­qués dans les dif­fé­rents sec­teurs de la région gre­no­bloise », décrit-elle.

Les résul­tats seront, par la suite, dis­po­nibles en ligne et actua­li­sés chaque année. Les pré­cé­dentes enquêtes ont par exemple per­mis de savoir que 50 % des loca­taires sur l’ag­glo­mé­ra­tion gre­no­bloise payaient un loyer com­pris en 500 et 730 euros, hors charges.

« Cette connais­sance favo­rise l’efficacité des poli­tiques locales de l’habitat pour mieux répondre aux besoins en loge­ment, ou encore pour favo­ri­ser la mixité sociale », pour­suit l’AURG. Pour qui la per­ti­nence du dis­po­si­tif dépend autant des réponses des loca­taires et des par­ti­cu­liers à l’en­quête que de l’im­pli­ca­tion des asso­cia­tions, des pro­fes­sion­nels ou des acteurs publics. Le tout sous la hou­lette du minis­tère de la Cohésion des ter­ri­toires (et de la Transition écologique).

L'Agence d'urbanisme lance un appel aux propriétaires et locataires pour participer à l'enquête annuelle de l'Observatoire local des loyers. © Florent Mathieu - Place Gre'net

L’Agence d’ur­ba­nisme lance un appel aux pro­prié­taires et loca­taires pour par­ti­ci­per à l’en­quête annuelle de l’Observatoire local des loyers. © Florent Mathieu – Place Gre’net

Les pro­fils de volon­taires recher­chés pour par­ti­ci­per à l’en­quête ? Les pro­prié­taires pri­vés, d’un ou de plu­sieurs biens, qui assurent la loca­tion sans pas­ser par une agence immo­bi­lière. Ainsi que les loca­taires du parc privé, dans un loge­ment vide ou meu­blé. Le tout sur l’une des 76 com­munes du péri­mètre de l’Observatoire local des loyers, qui com­prend l’en­semble du ter­ri­toire de la Métropole, du Grésivaudan et de Bièvre-Est, ainsi que cer­taines com­munes du Pays voironnais.

Les per­sonnes dési­rant appor­ter leur concours à l’Observatoire des loyers sont invi­tées à rem­plir le for­mu­laire dédié en ligne et à ren­sei­gner plu­sieurs élé­ments dont le type et la taille des loge­ments concer­nés ou la com­mune de rési­dence. « Elles seront par la suite contac­tées au télé­phone, entre mars et avril, pour un court entre­tien télé­pho­nique, mené par un pres­ta­taire pro­fes­sion­nel man­daté par l’Agence d’urbanisme », note l’AURG.

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Isère Grenoble devra construire 876 logements par an jusqu’en 2030

Certes, depuis 2015, c’est bien la Métropole qui a la compétence logement et qui en définit les grandes orientations. C’est le fameux PLH. Mais, au-delà de l’avis que les communes métropolitaines doivent rendre avant le conseil communautaire ce vendredi, chacune doit toujours prendre sa part chaque année dans cette politique publique majeure.

Margot Belair, adjointe à l’urbanisme, a rappelé que « la crise du logement à l’échelle nationale est sans précédent » et que « les prix de l’immobilier ont augmenté quatre fois plus vite que les revenus des ménages ces vingt dernières années ». Et de recentrer le débat sur la Métropole, « où l’on compte 17 000 demandes actives de logements sociaux ». Dont, selon la conseillère du groupe GDES, Amel Zenati, « 5 900 d’entre eux sont grenoblois ».

Grenoble vise 30 % de logements sociaux dans dix ans

Alors Margot Belair a insisté sur « la nécessité de production de…

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Grenoble capitale de la construction bois

Grenoble capitale de la construction bois


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mars 22, 2024

Source:
Jonas Tophoven Fordaq

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Grenoble capitale de la construction boisLe magnifique catalogue PNCB de 2023 et le programme du Forum Bois Construction 2024 le confirment : il ne se passe pas grand chose en construction bois à Paris en ce moment, en comparaison de la poussée quantitative et qualitative ailleurs en France. Et notamment à Grenoble, une ville qui jouit déjà d’un beau passé en termes de construction bois moderne, et qui se dote actuellement de nouveaux bâtiments exceptionnels, comme l’immeuble de bureaux XYLO livré par Linckcity en janvier dernier.

Pas facile de faire de l’architecture en bois avec des trames trop étroites, les précautions incendies C+D, les recommandations concernant la conception des façades face au risque d’incendie, l’exigence d’une descente claire des charges. Lorsqu’en plus on se trouve en zone sismique comme à Grenoble (sismicité moyenne, 4) toutes ces contraintes peuvent converger vers un bâtiment vertueux et bien laid. 

Pour Linckcity, Composite Architectes parviennent à gommer l’ennui tout en développant un nouveau style de bureau, ce qui semble indispensable en ces temps de crise profonde du tertiaire. Par exemple, on peut venir au travail à vélo, le garer convenablement à l’abri et prendre une douche avant d’aller travailler. Les espaces verts partagés sont nombreux et offrent une vue imprenable sur les Alpes, à partir de la ZAC Presqu’île régit par l’architecte De Porzamparc.

Bref, la forme est bien trouvée, la formule de travail est innovante, et en plus, on a affaire à un R+7 sismique ou tout au-dessus de rez-de-chaussée est en bois. C’était quoi les limites dites plausibles de passage obligatoire au béton dans les plots du Village des Athlètes ? 

Mais le plus secouant, c’est que l’immeuble n’a pas été construit par SDCC, mais par Bouygues, et pas par le noyau parisien de Brézillon, mais par Bouygues Bâtiment Sud Est, qui s’y installe et va avoir très envie de faire d’autres petits. Avant, ces choses-là étaient réservées à Mathis ou à une poignée de grands charpentiers. 

Après XYLO il y aura le WOOD, toujours à Grenoble. Parallèlement, l’agence Roda présente son école de la ZAC FLaubert dans le cadre d’un atelier du Forum Bois Construction consacré aux écoquartiers dignes de ce nom. Il est vrai que la ville de Grenoble ne vient pas à Nancy dévoiler ses projets d’urbanisme vert, ni Nancy d’ailleurs. La ZAC Flaubert a pris des années de retard, pas seulement à cause du COVID, mais pour des problèmes de budget. D’ici la fin de la mandature municipale française, on va avoir la surprise de voir des développements biosourcés important, notamment à Nantes. C’est moins net à Bordeaux et moins clair dans les autres villes de la vague verte. Mais ce qui manque par-dessus tout, c’est la formulation d’une approche adaptée en termes d’urbanisme. C’est même déjà trop tard. D’ailleurs, est-ce qu’il faut continuer à graver les ZAC dans le marbre sous la houlette d’architectes béton du 20e siècle ?

PHOTO : Maxime Brochier


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L’Eco d’ici en Isère : l’Observatoire local des loyers de la métropole de Grenoble

Chaque année depuis 2016 un Observatoire local des loyers scrute les prix dans la métropole de Grenoble ainsi que dans certaines communes du Pays Voironnais, du Grésivaudan et de Bièvre-Est. Un appel est lancé aux propriétaires et locataires qui ne passent pas par agence immobilière.

Depuis 2016 c’est l’Agence d’urbanisme de la région grenobloise (AURG) qui gère, en Sud-Isère, l’Observatoire local des loyers (OLL). Un outil qui peut s’avérer précieux pour le particulier en recherche de logement ou de locataire – dans quelle tranche se situe mon bien ? – mais qui l’est aussi pour l’État et Grenoble Alpes Métropole dans la mise en place des politiques publiques en matière de logement et d’urbanisme. Pour son enquête annuelle 2024 l’AURG cherche, comme chaque année, des locataires ou propriétaires qui ne passent pas par agence immobilière et qui voudraient bien répondre à son questionnaire. Plus il y a de réponse et plus les données du panel donnent une photo fidèle des loyers pratiqués et qui sont ensuite disponible sur le site internet de l’AURG.

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Lyon : deux nouveaux étoilés dans le Guide Michelin 2024

Le Guide Michelin a dévoilé son palmarès 2024 ce lundi lors de sa cérémonie depuis le Palais des congrès de Tours. En tout, ce sont 60 établissements qui ont été promus par les inspecteurs dans ce millésime 2024 (contre 44 en 2023), dont 52 restaurants remportant une première étoile (contre 39 en 2023).



Lyon, la capitale de la gastronomie, a une fois de plus prouvé son excellence culinaire avec deux établissements qui décrochent leur première étoile : L’Atelier des Augustins (Lyon 1ᵉʳ) Burgundy by Matthieu (Lyon 2ᵉ). En travaux depuis fin 2022, le restaurant Les Loges a été retiré du livre rouge et perd donc son étoile. Le retard dans sa réouverture initialement prévue pour 2023 a eu raison de son étoile au Guide Michelin, une décision jugée “légitime” par son chef Anthony Bonnet.

à lire aussi : L’Atelier des Augustins (1er) fait peau neuve


En ce qui concerne les restaurants deux étoiles, la liste reste inchangée par rapport à l’année précédente. Enfin, pour la plus haute distinction, celle des trois étoiles, il n’y a pas eu de changement cette année. Cependant, il convient de noter que le célèbre restaurant Paul Bocuse n’a pas réussi à retrouver sa troisième étoile, perdue en 2020.

Un processus de sélection controversé

Si le Guide Michelin est une institution respectée dans le monde de la gastronomie depuis plus d’un siècle, le livre rouge n’a pas échappé aux controverses. Des critiques portant principalement sur deux aspects : le premier est le manque de transparence dans le processus d’évaluation, notamment sur le flou entretenu concernant le nombre d’inspecteurs. Le deuxième est la pression accrue qui repose sur les chefs pour maintenir leur(s) étoile(s). Plusieurs d’entre eux ont choisi de se retirer du guide ou de fermer leur restaurant pour arrêter l’escalade. 

Malgré ces points de controverse, le Guide Michelin demeure une référence incontournable dans le monde de la gastronomie. Son palmarès annuel est attendu avec impatience par les chefs et les gourmets du monde entier, qui scrutent chaque année les étoiles attribuée. 

Lyon et sa proche périphérie comptent désormais 5 restaurants deux étoiles et 14 établissements une étoile au guide Michelin, et voici la liste mise à jour des restaurants :

Restaurants 2 étoiles

Mère Brazier  
12 rue Royale, Lyon 1ᵉʳ 

Takao Takano
33 rue Malesherbes, Lyon 6ᵉ

Le Neuvième Art
173 rue Cuvier, Lyon 6ᵉ

Paul Bocuse
40 quai de la Plage, Collonges-au-Mont-d’Or

La Pyramide – Maison Henriroux
14 boulevard Fernand-Point, Vienne

Restaurants 1 étoile

L’Atelier des Augustins (entrée 2024)
17 Rue Hippolyte Flandrin, Lyon 1ᵉʳ 

Prairial
11 rue Chavanne, Lyon, Lyon 1ᵉʳ 

Burgundy by Matthieu (entrée 2024)
24 Quai Saint-Antoine, Lyon 2ᵉ

Rustique 
14 rue d’Enghien, Lyon 2ᵉ

Les Terrasses de Lyon
Villa Florentine, 25 montée Saint-Barthélémy, Lyon 5ᵉ

Au 14 février 
36 rue du Bœuf, Lyon 5ᵉ

Jérémy Gavlan 
29 rue du Bœuf, Lyon 5ᵉ

La Sommelière 
6 Rue Mourguet, Lyon 5ᵉ

Têtedoie 
4 rue Professeur-Pierre-Marion, Lyon 5ᵉ

La Mutinerie
123 Rue Bugeaud, Lyon 6ᵉ

Les Apothicaires 
23 rue de Sèze, Lyon 6ᵉ

Le Passe Temps
52 rue Tronchet, Lyon  6ᵉ

Le Gourmet de Sèze
125 rue de Sèze, Lyon 6ᵉ

Miraflores
112 boulevard des Belges, Lyon  6ᵉ

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Dans les Alpes, la justice met un coup d’arrêt à plusieurs projets touristiques liés au ski


La station de ski de l’Alpe d’Huez (Isère), le 14 février 2024. La station de ski de l’Alpe d’Huez (Isère), le 14 février 2024.

Des constructions d’hôtels ou de résidences de tourisme, l’aménagement d’une route vers un site naturel, l’installation d’une remontée mécanique, l’extension d’un domaine skiable… Il y a quelques années, dans les stations de ski des Alpes, ces projets seraient passés comme des lettres à la poste. Aujourd’hui, ils divisent les habitants – entre ceux qui veulent continuer d’aménager la montagne pour le ski et le tourisme, et ceux qui aimeraient porter un coup d’arrêt à cette vague, qui a fait la richesse de toute une région.

De plus en plus d’associations contestent en justice des projets d’aménagements portés par des élus, et obtiennent gain de cause. En l’espace d’un mois, les stations de ski de l’Alpe-d’Huez (Isère) et du Grand-Bornand (Haute-Savoie) ont eu chacune leur plan d’urbanisme retoqué par le tribunal administratif de Grenoble. Celui-ci a également annulé un projet de télésiège à Aussois (Savoie), le 5 mars.

Le plan de l’Alpe-d’Huez, qui prévoyait notamment la construction de trois hôtels et de deux résidences de tourisme (2 400 lits), a été tout bonnement annulé. En cause, une « évaluation environnementale insuffisante », des « incohérences » sur les besoins de nouveaux lits touristiques, et un manque de moyens consacrés à la rénovation des logements existants.

Celui du Grand-Bornand, en revanche, n’est que « suspendu ». Parmi les points soulevés par la rapporteure publique, figure l’impact des projets touristiques sur la ressource en eau, dans une station fortement dépendante des canons à neige. « En l’espace de quatre ans, la consommation d’eau liée à la seule neige de culture a augmenté de 53 %, et dépasse désormais la consommation d’eau potable », constate la magistrate Emilie Akoun.

Le ton avait été donné en 2023, lors d’une décision qui avait fait grand bruit : l’annulation, le 30 mai 2023, du schéma de cohérence territoriale de la Maurienne, un document voté par soixante-deux communes savoyardes, dont vingt-quatre stations (Valloire, Valmeinier, Saint-Jean-d’Arves, Valfréjus…). Cette feuille de route prévoyait l’extension de domaines skiables, et la construction de 22 800 lits touristiques, dont un Club Med de 1 000 lits à Valloire.

« Point de bascule »

Avec ces décisions, c’est toute une philosophie, basée sur l’expansion des domaines skiables et la croissance des constructions touristiques, qui est mise en cause. Un choc pour ces stations, qui estiment qu’elles ont besoin de ces constructions pour financer un système de plus en plus coûteux – nombre de skieurs qui baisse, hausse du coût de l’énergie, utilisation croissante des canons à neige –, et compenser la part croissante de leurs « lits froids » – des appartements occupés moins de quatre semaines par an.

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Inscription de l’IVG dans la Constitution, fin du tout-ski, écocide… les cinq bonnes nouvelles de mars

1 . L’IVG dans la Constitution française

Un pas historique pour le droit des femmes vient d’être franchi en France. Le 4 mars, le pays est devenu le premier dans le monde à reconnaître explicitement l’Interruption volontaire de grossesse (IVG) comme un droit constitutionnel.  Après l’onde de choc qu’a suscité en juin 2022 l’abrogation de l’arrêt Roe vs Wade, qui protégeait l’accès à l’avortement outre-Atlantique, plus de 18 mois de débat ont été nécessaires aux parlementaires pour tomber enfin d’accord et sanctuariser ce droit. Et ce, 49 ans après la promulgation de la loi Veil en 1975 sur la dépénalisation de l’avortement. Lors de la cérémonie du scellement, le chef de l’Etat Emmanuel Macron a annoncé vouloir inscrire l’IVG dans la Charte des droits fondamentaux de l’UE, où “plus rien n’est acquis”.

2 . Le crime d’écocide reconnu au niveau européen

C’est officiel. Le 27 février, le crime d’écocide a été inscrit dans le droit européen. D’ailleurs, l’Union européenne est devenue la première instance internationale à avoir reconnu ce crime. Pour la députée européenne EELV Marie Toussaint, “le texte adopté peut ouvrir un nouvel âge du contentieux environnemental en Europe”. Concrètement, le commerce illégal du bois, les feux de forêt massifs, les marées noires, les prélèvements illicites d’eau… toutes ces infractions pénales s’apparentent désormais à un écocide. Côté sanction, le texte adopté prévoit des peines de prison et des amendes, en fonction de la gravité des faits. Une peine de 10 ans peut ainsi être requise pour les individus ayant commis des infractions entraînant la mort. De même, les entreprises pourront se voir infliger des amendes s’élevant de 3 à 5% de leur chiffre d’affaires mondial. Elles pourront également être privées de financements publics et seront tenues de réparer les dommages et/ou d’indemniser les victimes.

3 . Le pétrolier Perenco, persona non grata au Guatemala

Une décision forte. Le nouveau gouvernement du Guatemala, dirigé par le centre-gauche Bernardo Arevado, a décidé de ne pas renouveler le contrat d’exploitation pétrolière de la compagnie franco-britannique Perenco. Dans ce pays d’Amérique centrale, la présence de cette major pétrolière a suscité de nombreux problèmes d’ordre juridique, environnemental et de respect des droits humains. D’ailleurs, son site d’exploitation pétrolière se trouve en plein cœur du parc national Laguna del Tigre, une zone protégée depuis 1989 où est interdite toute activité humaine. Et cela semble être une habitude pour Perenco qui a obtenu l’autorisation de chercher et d’exploiter des hydrocarbures dans 74 aires naturelles protégées à travers le monde, comme l’a récemment révélé une enquête menée par le consortium international des journalistes d’investigation environnementale (EIF). Au Guatemala, la fin des opérations est d’ores et déjà prévue le 12 août 2025, date du terme du contrat.

4 . Vers la reconnaissance de la responsabilité de l’Etat dans le scandale du chlordécone

Les députés ont voté “oui”. Le 29 février, l’Assemblée nationale a voté en première lecture une proposition de loi visant à “reconnaître la responsabilité de l’Etat” dans la pollution au chlordécone en Martinique et en Guadeloupe, un insecticide toxique utilisé massivement dans les bananeraies de 1972 à 1993. Pour le député Elie Califer, rapporteur socialiste de la proposition, il s’agit “d’une victoire de la représentation nationale”. Si la responsabilité de l’Etat avait déjà été pointée dans le rapport d’une commission d’enquête parlementaire en 2019, c’est la première fois qu’un texte législatif la reconnaît dans “les préjudices subis par les territoires”. Au-delà de cette reconnaissance, l’Etat est également assigné à un objectif de dépollution des sols et d’indemnisation des victimes.

5 . Coup d’arrêt au projet d’aménagement de l’Alpe d’Huez

Le tout-ski, c’est fini !  Le tribunal administratif de Grenoble a annulé, le 15 février, le plan local d’urbanisme (PLU) de l’Alpe d’Huez. Ce plan prévoyait la création de 2 400 nouveaux lits touristiques alors que la station possède déjà 60% de lits froids, c’est-à-dire occupés moins de quatre semaines par an. L’objectif : retrouver la capacité d’accueil des années 1990 pour atteindre 31 000 lits d’ici à 2034. Pour France Nature Environnement, qui avait déposé un recours contre ce PLU, ce plan était “déconnecté des enjeux liés au réchauffement climatique”. “Cette décision envoie un signal aux stations de ski (…) il faut qu’elles soient raisonnables dans leurs projets immobiliers”, a expliqué Elodia Bonel, juriste au sein de FNE.

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Le Versoud « L’objectif de ce Plan local d’urbanisme est de rendre la commune désirable

« Cela fait trois ans et demi que nous travaillons sur ce nouveau Plan local d’urbanisme (PLU). C’est un projet au long cours, qui prévoit notamment un développement urbain raisonné, qui va favoriser la rénovation de quartiers (du côté du Pruney), et qui anticipe les besoins futurs de la population et de ce territoire en termes de développement économique, de logements, d’agriculture », se félicite le maire Christophe Suszylo, fier « de la concertation mise en place autour de ce projet et de son acceptation ». D’autant que les objectifs fixés entre autres par le Scot, le schéma de cohérence territoriale de la grande région de Grenoble, restent ambitieux. Demain, la commune s’engage à maîtriser sa croissance démographique (elle vient de franchir le cap des 5 000 habitants), la densification des espaces bâtis, contenir une urbanisation économe en foncier pour préserver les espaces naturels, agricoles et forestiers (d’où son projet de PAEN, Périmètre de protection des espaces agricoles et…

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architecture 4 future lauréate du concours Plan Climat de Vienne-Condrieu Agglomération

Le cabinet « architecture 4 future » a remporté le concours des initiatives Plan Climat de Vienne-Condrieu Agglomération. Ce cabinet d’architecture créé récemment, implanté à Vienne même, dans l’ancienne vallée industrielle de la Gère,  conçoit des lieux de vie de demain visant à faciliter un mode de vie amélioré, économe et plus robuste.
Sous la direction de Patrick Stefan Rheinert, architecte diplômé en Allemagne mais aussi de l’INSA de Lyon, implanté depuis longtemps en région lyonnaise, l’équipe intègre quatre fondamentaux « agile », « citoyen », « sobre » et « végétal » dans chaque projet pour permettre et garantir  » des solutions diverses et de haute qualité. » Le but est de concevoir, d’imaginer, de mettre en oeuvre des réalisations agiles, citoyennes, sobres et respectueuses de l’environnement  » non seulement possibles, mais également désirables et accessibles à tous. »

Une ancienne usine transformée en lieu multifonctions

À Vienne, le cabinet vient de livrer le bâtiment totalement métamorphosé de la friche industrielle Crétin , une ancienne usine-atelier de mécanique, dans la vallée de la Gère affluent du Rhône descendant du plateau isérois, dont l’énergie hydraulique a permis il y a longtemps un développement industriel.  Le projet  »  Grünbox ‘ ( boite verte en allemand et en anglais ) comprend une salle polyvalente, des logements, un espace de co-travail, et même une Tiny House aménagée dans des conteneurs maritimes. L’opération a permis de créer un lieu de vie intergénérationnel, multifonctionnel et écologique.

Réemploi maximal

Pour cette opération phare, l’agence a mis l’accent sur le réemploi, pour conserver au maximum le bâtiment existant mais aussi pour les transformations. Environ 50 % des matériaux de construction sont issus du réemploi. , Mais des équipements  » en fin de vie »   ou déclassés ( anciennes enseignes lumineuses, cuisines, intégrées, mobilier, ) ont été utilisés astucieusement pour les aménagements.

Comparé au bilan d’une construction neuve, l’économie en CO2 (en cycle de vie) a été de 65% environ, ce qui représente environ 500 tonnes d’émissions évitées. Pour mémoire, en général, la construction, l’entretien, le chauffage des lieux de vie  représentent bien plus que la moitié des émissions en CO2 en France. Les architectes ont travaillé autant que possible avec des matériaux naturelles. Grâce à l’opération « Cœur de Villes » soutenue par Action Logement Services les loyers pour les logements sont très abordables.
Les architectes ont aussi  innové en expérimentant des solutions telles que la collecte des eaux pluviales dans une citerne piscine, encastrée entre la montagne et le bâtiment, des serres horticoles chauffées par récupération de calories de la ventilation des locaux ou un mix énergétique innovant pour assurer le confort thermique en saison chaude.
Malgré les défis, notamment le passage d’un statut de consommateur passif à celui d’acteur de son propre environnement, l’équipe entend  créer des espaces propices aux interactions sociales et à la participation active des habitants. Pour Patrick Stefan Rheinert, il s’agit de propager cet “virus positif du changement” à
tous les niveaux de la société.

La chronique a été générée aussi sérieusement que possible. Dans la mesure où vous désirez mettre à disposition des renseignements supplémentaires à cet article sur le sujet « Urbanisme de Grenoble » vous pouvez utiliser les contacts affichés sur notre site web. Le but de urbanisme-grenoble.com est de débattre de Urbanisme de Grenoble dans la transparence en vous donnant la visibilité de tout ce qui est mis en ligne sur ce thème sur le net Cet article, qui traite du thème « Urbanisme de Grenoble », vous est volontairement proposé par urbanisme-grenoble.com. Connectez-vous sur notre site internet urbanisme-grenoble.com et nos réseaux sociaux pour être informé des prochaines publications.

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